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À Bordeaux, Fils veut prendre sa revanche : “Ca va être un match au couteau” Arthur Fils doit se relancer. En quête d’une première finale sur le circuit cette saison, le droitier de 19 ans ne convainc plus vraiment. Alors que Roland-Garros se rapproche toujours un peu plus, le Français est venu à Bordeaux afin d’accumuler un peu de confiance.  Sans réaliser des matchs exceptionnels, il a obtenu son billet pour la finale ce dimanche. Pour tenter d’aller chercher son premier titre de la saison, il s'apprête désormais à défier Pedro Martinez (51e), un joueur qui l’avait fait tomber à Santiago en mars dernier.  Déterminé à prendre sa revanche et à se rassurer avant Roland-Garros, Fils a hâte d’y être : “La revanche… Ça va être un match au couteau, une bonne bagarre. C’est un bon Espagnol comme on les aime, c’est un excellent test pour Roland.” Vainqueur d’adversaires très à sa portée jusqu’alors (Van de Zandschulp, Kokkinakis, Barrere), une victoire face à un joueur comme Martinez, juste avant Paris, lui permettrait de se relancer au meilleur des moments. Affaire à suivre ! 
Arthur Fils, l'occasion de relancer complètement sa saison à une semaine de Roland Garros Le début de saison d'Arthur Fils n'a pas ressemblé à ce qu'espérait l'intéressé. Révélé aux yeux de tous en 2023, le jeune Français, désormais coaché par le duo Sébastien Grosjean/Sergi Bruguera, était très attendu cette année. Et il semble pour l'instant avoir du mal à répondre à ces attentes. Après un quart à Hong-Kong et une demi-finale encourageante à Auckland en janvier, le jeune homme de 19 ans n'a pas réussi à enchaîner. Il comptabilise depuis 11 défaites contre seulement 8 victoires sur l'ATP Tour. Son passage cette semaine sur la terre battue de Bordeaux pour y disputer le très relevé Chalenger BNP Paribas Primrose revêtait donc une importance capitale. Tête de série n°1 du tableau, Fils a parfaitement saisi l'occasion jusque-là puisqu'il disputera la finale du tournoi ce dimanche face à Pedro Martinez. Contre l'Espagnol, tête de série n°2, il aura l'occasion de se relancer parfaitement et de faire le plein de confiance. Une confiance primordiale à tout juste une semaine du début de Roland-Garros. D'autant plus primordiale que le Français à choisi de ne pas aller défendre son titre la semaine prochaine à Lyon. Dans l'idée d'arriver plus frais que l'année dernière sur la terre battue parisienne pour tenter d'y obtenir un meilleur résultat (défaite au 1er tour face à Davidovich Fokina en 2023). L'actuel 38e joueur mondial (il sera au moins 33e lundi) semble confiant sur sa capacité à y parvenir. Arthur Fils (au micro de KP Sports) : "Ça se passe très bien avec Séb (Grosjean) et Sergi (Bruguera). Ils m'apportent leur grande expérience, c'est ce dont j'ai besoin pour l'instant. Je suis super content, on bosse bien, et ça va payer."
Zverev fait l’éloge des tifosi romains : “J’ai l’impression d’être italien” Alexander Zverev a été malmené, mais il a tenu son rang ce vendredi.  Jusqu’ici très dominateur, il s’est fait peur en demi-finale. Opposé à un Alejandro Tabilo vivant un rêve éveillé, tombeur de Djokovic et Khachanov notamment, l’Allemand a longtemps été dominé. Balayé dans le premier acte, il a finalement su faire le dos rond pour arracher le deuxième set au tie-break avant de dérouler par la suite (1-6, 7-6, 6-2).  Qualifié pour la finale, Zverev a tenu à rendre hommage au public italien. En effet, Zverev explique que l’Italie est l’un des pays où il a le plus de plaisir à jouer (déjà vainqueur de Rome en 2017) : “C'est drôle, l'Italie est l'un des trois pays où j'ai le plus de soutien. J'ai l'impression d'être Italien quand je joue ici. Je reçois tellement d'amour, tellement d'énergie de la part du public, tout le temps. Même aujourd'hui (face à Tabilo, en demi-finale). Normalement, le public veut toujours que l'Outsider se débrouille bien. Là, j'ai vraiment senti qu'ils étaient derrière moi. Cela aide. Je l'apprécie vraiment. Les Italiens sont un public de 'fous', et j'aime ça. J'aime l'énergie. J'aime quand ils sont bruyants. Et quand ils sont pour vous, c'est encore mieux. Je ne remplacerai pas Jannik (Sinner, 2e mondial et porte-drapeau du tennis transalpin), mais peut-être que pour cette semaine, s'ils peuvent le voir comme ça, j'en suis heureux.” Revenant sur le match, le 5e joueur mondial reconnaît être passé par toutes les émotions : “Je n'ai pas bien joué au premier set, mais c'est à cause de lui que je n'ai pas bien joué. Il a bien démarré, frappant très fort, avec beaucoup d'amorties. Il jouait de manière extrêmement agressive. Il ne m'a pas laissé jouer. J'ai eu le mérite de m'accrocher. Les choses ont changé dans le tie-break, et la dynamique s'est inversée ensuite. [...] Il n'est pas facile de jouer de manière agressive contre un adversaire qui essaie de jouer tous les coups à fond. Dans le premier set, j'ai à peine touché la balle. Pour jouer agressif, il faut avoir du rythme. Je ne l'ai pas eu aujourd'hui.  En fin de compte, il s'agit aussi parfois de trouver des solutions. J'en ai trouvé une, surtout dans le tie-break du deuxième set, et j'étais plus à l'aise dans mes coups à la fin.” 
Devenu père en mars, Musetti se confie : ‘’J’ai presque passé un mois sans le voir’’  Il existe des moments dans la vie où les vies professionnelles et personnelles s’entrechoquent. Lorenzo Musetti, véritable prodige du tennis italien, en sait quelque chose. L’espoir italien, 29e mondial cette semaine et qualifié pour la finale du Challenger 175 de Turin ce dimanche, est en effet devenu père en mars dernier. À seulement 22 ans, le droitier au bras merveilleux a découvert la complexité que pouvait représenter une vie de famille lorsque l’on est sportif professionnel.  Interrogé à ce sujet, il n’a pas fait dans la langue de bois. Avouant que son fils lui manquait, il explique profiter des moments où il joue en Italie pour passer un maximum de temps avec son fils : “Je pense que le mérite revient aussi à ma compagne, et également à ma grand-mère, qui me soutiennent beaucoup. Je profite vraiment, en ce moment, de voir mon fils grandir. Cela fait des semaines que, parce qu’il n’a pas les papiers nécessaires, il n’a pas pu voyager, prendre l’avion, etc.  J’ai passé presque un mois sans le voir depuis sa naissance (son fils a 2 mois), mais quand je suis revenu à la maison, je l’ai vu grandir. Vivre avec lui depuis Rome est merveilleux, nous sommes ensemble toute la journée depuis presque deux semaines.  Cela me réchauffe le cœur et me fait du bien d’être avec Ludovico (son bébé). Du point de vue de la vie privée, je me sens très bien, et j’essaie de transposer ces sentiments dans le domaine professionnel.” 
Insolite : Battue, Sabalenka garde le sourire : “Je voudrais remercier mon équipe de m’avoir aidée à perdre” Comme à Madrid, il y a deux semaines, Aryna Sabalenka s’est inclinée en finale de Rome. Battue pour la deuxième fois, en deux tournois, par Iga Swiatek, la Biélorusse n’en a pas perdu son sens de l’humour. Si elle a été bien plus largement dominée qu’en Espagne où elle s’était procuré plusieurs balles de match, la numéro 2 mondiale a tâché de relativiser. Ainsi, lors de la cérémonie de remise des trophées, elle a taquiné son staff. Connue pour avoir une excellente relation avec toute son équipe, Sabalenka a ainsi, devant un public hilare, décoché : “Bien sûr, un dernier mot et pas des moindres, je voudrais remercier mon équipe pour m’avoir aidé à perdre une autre finale (rires). C’est de votre faute les gars ! … Je rigole évidemment.” Sans chercher le scandale, on peut se demander si derrière la remarque humoristique, il ne se cache pas une pointe de reproche ?
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